(suite de mystère et boule de gomme)->Un revenant

[pour ceux qui ne comprennent pas le message, ou ne savent pas quoi faire pour le continuer, je les invite à aller ici]

C'était le matin d'une nuit sans lune. Le rosée venait à peine s'endormir sur l'herbe quand un homme en loque au yeux agards apparu à la lisière de la forêt. On put voir un bras tout juste visible le pousser doucement et une voix douce s'éleva comme pour le guider et l'encourager. L'expression de l'homme ne changea nullement, pourtant il fit un pas, ouvrit la bouche comme ahuris et pataud et se dirigea de cette démarche chancelante jusqu'au niveau de la garde. Celle-ci remarqua avec stupeur que l'étrange personnage délirait complètement, celui-ci était parcouru de tic, qui déformait son expression, se mêlant à son délire, des grimaces rendait l'homme particulièrement laid.

Mais entre les ride de douleur et de frayeur il purent reconnaître Richt, un villageois tout-à-fait respectable, aus théorie qui reposent entièrement sur des faits et à l'esprit très terre-à-terre. D'ailleurs c'est lui qui le premier a dit qu'il ne pouvait exister de monstres tels que les sirènes dans ce bas-monde.

Il s'en était suivi toute une théorie qui tenait debout après coup !

Mais là, la garde se demandait ce qui s'était passé puis soudain...

Richt eut un visage d'acier, comme s'il luttait et reprenait un peu ses esprit, il secoua l'un des gardes avec une violence que l'on aurait jamais soupçonné d'un corp aussi frêle.
"Vite ! Enmenez-moi, laissez-moi passer ! Je dois parler à Elène ! Vite, vite ! Ou bien ils viendront me prendre, il faut m'aider, il ne faut pas les laisser faire si je ne la préviens pas personne ne le pourras, laissez-moi passer, elle seule peut me croire au conseil !!!

LAISSEZ-MOI passer !!!"

Il tourna brusquement la tête vers les arbres, inquiet. Puis on aurait put croire qu'il avait entendu quelque chose, quelque chose que lui put percevoir et il délira de nouveau, secoua les garde et essya d'entrer de force.

Elle était sortit du lac en quête de la vengeance, elle n'avait pas spécialement faim, bien que cela viendrait très certainement avec le temps et l'exercice, mais pour le moment elle voulait surtout apaiser sa soif de vengeance. Celle-ci dormait depuis trop longtemps... comme un long couteau planté dans le coeur rouillé par le temps et s'enfonçant un peu plus à chaque fois qu'elle plantait ses crocs dans la chaire humaine.
C'était une femme d'apparence 19 ans qui avançait dans la forêt, elle avait des cheveux filandreux noirs aux reflets bleu, comme les profondeurs des eaux. Sa peau, blanche, avait un mouvement bleuté sous les lumière sdu soleil. Ses yeux maintenant durs étaient envoûtants et d'une belle couleur verte. Dans l'ensemble sa pysionomie avait quelque chose de pas humain mais de très attirante... belle beauté, ou dangereuse bauté ? Elle avait pour atténuer sont côté hibride, enfilé la robe d'une humaine(préalablement dévorée), il n'y avait pas la moindre trace de déchirure sur l'habit ; elle avait pris soin de directement s'attaquer à la gorge de sa victime.
Elle n'était pas la première sirène à s'aventurer dans le village, et bien qu'elle ne se sente pas bien du tout dans cet accoutrement, elle voulait y passer imaperçu et savourer le moment de la victoire comme elle se l'était toujours imaginée : Dans l'ignorance totale de ses victimes avant de frapper.
Si elle méprisait les hommes, elle n'était pas assez impulsive ou irréfléchie pour oublier le mal qu'ils avaient à sa famille. Elle les craignait en groupe, elle craignait ce village et elle avait patiemment attendu le bon moment pour aller dans cet endroit qu'elle qualifiat d'horreur, du moins comparé au lac.
Elle avançait dans le chemin sinueux entre les arbres. Oui, c'était le bon moment. une rumeure parcourait les eaux et s'étendait dans le labyrinthe de verdure, quelque chose était à l'affu. Mais rien ne lui permettait de savoir avec exactitude ce que cela pouvait être.
Elle arriva finalement à un endroit dénudé qui menait à de grands battants de bois, elle avait déjà observé cet endroit auparavent et dans sa robe bleu foncé qui faisait resortir ses yeux elle se tenait là, à regarder la grande porte où se déroulait un bien étrange spectacle.
Apisci, car c'est ainsi qu'elle s'appelait, écouta avec intention les parole prononcées, ses lèvres remuaient, sans émettre le moindre son, reproduisant les paroles comme si elle saisissait les paroles au vol, pour mieux les comprendre.
Les gardes ne voulaient pas laisser passer un homme :
"Tu es fou Richt, qui me dit que tu n'as pas attrapé un mal de la forêt ?! Un mal qui serait capable de se répendre dans le village !"Fit un de la garde. L'interpelé le regarda, comme si son dernier espoir c'était volatilisé.
Apisci le connaissait. Pendant ses heures où elle avait observé les portes elle l'avait vu narguer le forêt, disant qu'elle ne lui ferait aucun mal, il n'avait pas peur d'elle vu qu'il n'y avait rien à craindre. Mais maintenant il ne semblait pas en être si sûr.
Apisci eut un sourir, dommage qu'il ne s'en soit aperçu si tôt elle aurait aimé lui faire goûter à une punition de chez elle...
Elle s'avança, c'était pour l'instant son billet d'entrée, elle devait saisir sa chance.
Elle s'avança à grands pas, et prenant l'homme par les épaules elle posa une de ses mains sur son front.
Le garde ne comprenait manifestement pas qui elle était, mais la prenant pour une guérisseuse, une hermite de la forêt, que l'homme aurait rencontré en chemin il lui demanda :
"Qu'a-t-il donc ? -elle haussa les épaules- Est-ce grave ? -elle fit un mouvement afirmatif- Est-ce contagieux ? -elle exécuta un mouvement négatif cette fois-"
Le garde fit un mouvement de surprise, puis il réfléchit à voix basse avec les autres. Apisci put mieux observer l'homme, son cas l'intéressait à présent. ve n'était plus une bête sans défense dont elle désirait se servir pour entrer avant de la dévorer, non, c'était toujours une bête sans défense mais qui était plus billet d'entrée. C'était celui qui lui apporterait très certainement la vengeance espérée !

Hoheneim referma son livre puis tous en visant toujours la syrène.Il dit:

Bon les gardes,vous rentrez tous avec lui,fermer bien les portes et amenez le a Elène.Si vous ne la trouvez pas laissez le dans une maison vide avec un gardien a coté de lui.Si vous ne faites pas sa je vous jure que vos tripes recouvreront le sol du village.

Les gardes s'executèrent et une fois qu'il furent partit Hoheneim rajouta:

Bon toi l'etheré maintenant que tu parle la langue dit moi ce que tu fait ici et même chose pour toi le poiscaille.

Il rangea son arme et attendit leurs réponses.

Apisci avait été surprise de voir quelqu'un sauter juste devant elle. La personne en question avait une personnalité plutôt imposant qui écrasait le courage des autres et faisait grandir leur peur. Elle-même prit un certain temps à réagir... ele ne répondit à aucune de ses premières question et resta parfaitement immobile. Mais à mesure qu'il parlait, un sourire se dessinait sur ses lèvres.
L'homme qu'elle tenait toujours par les épaule tremblait comme une feuille, mais non pas parce que maintenant il savait que c'était une sirène, mais parce que la forêt grandissante derrière lui lui donnait l'impression de dévorer son âme. Elle savait qu'il était en train de perdre les pédale, maintenant son envie de vangeance c'était quelque peu refroidie tout l'intéressait... cet homme grelotant tout contre elle, cet homme ne cessant de regarder en arrire et de forcer sur son bras pour se dégager n'avait plus rien pour elle d'une pauvre victime. Maintenant elle avait la clé même qui lui permettrait de comprendre les choses étranges qui se passent dans les zones sauvages... dépourvues de la vie humaine.
Elle souriait à son agresseur. Elle n'avait pas peur de lui, elle n'avait jamais peur des hommes quand ils étaient seuls... il suffirait que deux gardes se joignent à l'humain devant elle pour qu'elle y réfléchisse à deux fois.
Mais par contre il l'amusait assez, il la narguait avec son livre. Au début cela avait entraînée une grande colère en elle mais maintenant elle l'aimait bien lui et ses manières. Il avait du cran et remontait l'estime des humains, ce n'est pas peu dire venant d'elle.
Une silhouette encapuchonnée passa à côté et ravala les paroles de l'homme pour le mettre en garde contre le danger qu'évoquait l'humain un danger qui ne pouvait se permettre d'attendre plus longtemps devant cette porte.
Apisci toujours muette écouta la conversation juisqu'au point critique.
Elle n'amait pas du tout, mais alors du tout le mot poiscaille ! Mais étrangement cela agrandit son sourire. Drôle de colère tout de même ! En fait elle n'aimait pas que les humains se fichent de l'eau qu'ils polluent et de tous les immondices qu'ils sont capables de causer, par contre elle aimait assez quand ils avaient du cran.
Soudain il lui posa une quetion, et une légère surprise effleura le visage d'Apisci, puis répondant au regard de l'esprit et à celui de l'homme, elle dit dans sa voix natale.
"Si vous me demandez de vous répondre c'est que vous connaissez ma langue. j'en suis charmée, cela montre que vous avez un certain intérêt pour notre espèce ou bien que vous en avaez un certain besoin. Très bien je vais vous expliquer. Je ne suis pas du genre à mentir sachez-le, alors coryez ce que je vais vous dire. J'étais venu étancher ma soif, une soif bien particulière je vous l'accord -elle eut un sourire- je ne vous en dirai pas plus là-dessus. Mais cet homme a soit répandu l'ombre qui s'étend dans la forêt, soit la déclenché, soit y a partcipé d'une manière ou d'une autre. Je pense que l'esprit s'en rendu compte autant que moi. En fait de manger, je n'ai pas faim bien que d'ici ce soir cela devrait venir. En attendant ce que vous voulez de lui mais prenez au sérieux ses paroles. Je suis peut-être sirène mais je connais les mal comme personne... ou presque et ce mal là est inguérissable et la cause m'est totalement cachée. Ce n'est pas normal et si vous voulez quelque chose de lui il faudrait le faire avant le milieu du jour (midi). Voilà et je souligne ce que l'esprit à dit ... ce n'est pas parce que nous sommes des "monstres" que nous ne pouvons pas aider les votres. Ce mal nous concerne tous, hommes et êtres."
Elle fit une pause et sur un ton plus sérieu mais toujours avec son sourire (qui en aurait fait tomber plus d'un si ce n'était pas cet homme) :
"Maintenant si vous voulez vraiment faire une petite 'bagarre' j'en serais ravie."

Un sourit se dessina sur le coin de la bouche de Hoheneim,il la regarda et dit:

Sa tombe bien...

Il sauta a quelque mètre d'elle puis rajouta tous en tenant son chapeau a cause du vent qui commençai a souffler:

...j'ai envie d'un dessert.

Il sorti sa main gauche de sa poche et lui fit signe de venir.

Allez approche.

[la prochaine fois édite ton premier message ne double post pas sinon j'effacerai le 2ème message]

[oui dsl mais je crois qu'avec Mab on a le même problème ^^""]
Elle le regarda sauter comme de plusieurs mètres, c'était pour lui une telle aisance, il le faisait comme s'il avait exécuta un pas. Ses ongles s'allongèrent pour devenir des griffes. Maintenant elle savait. S'il parlait d'un dessert en s'adresant à elle c'est qu'il n'avait rien d'humain. Cette aisance à sauter, cette absence de crainte dans ses yeux.
Et cette odeur de sang, de sang mélangés, froid, voire pourris cette odeur de mort. Celui-là était ce qu'elle appelait une machoire de la nuit. Un vampire. Un son roula dans sa gorge, en tre ronronnement du chat, et le grognement du loup, bruit sourd tout juste perceptible mais qui faisait monter une vague en elle.
Quand celle-ci ce fut répandu dans tout son corps, elle sentit des picotements d'impatience. Ses yeux devinrent vifs, attentifs et amusés.
Un dessert ? La gourmandise fait défaut, le dessert lui passera sous le nez pour qu'il comprenne celà.
Au moment où il voulait qu'elle approche tout ce qu'elle fit c'est d'une de ses griffe elle dégraffa sa robe laissant apparaître ses 'habits' de sirène. Morceau de tissu serré autour de la taille, et deux morceux reliés entre eux pour la poitrine. Un robe ce n'est pas très pratique pour se battre.
Elle se tourna vers l'esprit :
"Ne te mêle pas de ça, s'il te plait"
Et elle s'acroupis une main au sol, l'autre sur son genou.
Puis regardant la silhouette immobile au-dessus d'elle, d'en dessous elle était en infériorité, mais elle ne s'en blamait pas.
Elle sourit, bien, ça risquait d'être intéressant ! il lui refit signe. Elle avait beau être en partit poisson elle n'allait pas se faire prendre au filet.
Elle regarda les portes derrière elle, puis elle sauta à son tour, droit sur la baricade, ses deux pieds joints poussèrent sur le bois et elle alla l'oposée vers les battants de porte, de la même façon elle passant d'un battant à un autre et arriva au sommet. Un fois là elle se tint en équilibre parfait, sans le moindre vacillement, à "quatre pattes" soigneusement alignés sur les rondins de bois.
"Tu voulais que je vienne ? Me voilà !"
Elle bascula en avant comme pour une roulade et une fois sur ses mains elle se propulsa si l'on puis dire juste de l'autre côté du vampire.
Celui-ci n'était pas resté de pierre.

Mab regarda le début du combat, elle soupira. Décidément ils pensaient tous à se battre ! Ce n'est pas que les esprit sont des gens passablement pacifiques, mais ils n'utilisaient la force que lorsque c'était nécessaire. Là entre autre, ce n'était pas nécessaire.

Elle se retourna vers la forêt, elle allait pouvoir partir. Quand elle entendit les arbres se plaindre. Non, elle ne retournerait pas chez elle pour ne rien faire, pour attendre alors qu'elle serait tout-à-fait capable d'aider les siens. D'ailleurs, il fallait qu'elle surveille l'avancée des évênments, elle n'allait certainement pas pouvoir les observer bien tranquillement chez elle !

Tant pis si elle n'était pas encore "palpable", elle avait assez vu l'homme à l'aura étrange, assez effleurer son esprit et daduit ses paroles pour comprendre que c'était un vampire. Si vraiment ils cotoyait un vampire le fait d'être révélée comme étant un esprit était son dernier soucis. Après tout ils ne pouvaient rien lui faire, sauf s'ils avaient une connaissance étandue sur les esprit et que cela leur permette de trouver un point faible.

C'était décidé, elle irait. Elle fit volte-face et passa les portes, elle se ficha des deux autres. Un lueur s'était évaillée en elle, une vieille lueur qu'elle n'avait plus sentit de puis longtremps.

Celui du besoin, de l'appel, de l'appel de la forêt, elle lui demandait de l'aide de la protection, elle avait une force retrouvée, qu'elle avait oublié. Elle fonça dans les lueurs matinales du matin. Elle ne réfléchissait pas elle savait qu'elle suivait l'homme mais elle ne savait pas comment elle y arrivait.

[suite de Mab]

[vous pouvez continuer votre combat ici, je continue juste le reste, lisez si vous voulez rester au courant de ce qui se passe et si vous souhaitez faire une autre apparition dans cette quête -après votre duel par exemple-]

(je crois qu'en effet on a le même problème, on va en parler par mp)