.:† Validée †:. Mab ... présentation ^^

(bon, compte tenu de mon prblème d'ordi... je demanderai à tous de me pardonner pour mon retard ^^"")

Nom : /
Prénom : Mab
Situation dans le village : être/monstre
Âge : Vu qu'elle n'est pas humaine ... ben ça doit tourner autour de 4 siècles
Race : Esprit de la forêt

Biographie :

C'était doux, chaud, et cela sentait bon. Lovée dans ce lit naturelle, dans un sommeil inconscient où elle grandissait, Mab attendait son heure. Elle ne savait ce qu'elle était ni même où elle était, et je pense qu'elle était incapable de penser ou de croire en quelque chose à ce moment précis.

Elle attendait, ignorant même son existence, elle patientait, il y avait certes des images qui défilaient, comme un rêve prolongé. Ou encore des sensations qui s"infiltraient dans ce film ininterrompu. Mais elle ne s'en souviendra jamais, ces images seront la base même de son esprit, ses fondations, et ses opinions mais à ce stade tout n'est qu'images.

Pourquoi croyez-vous que quand on est petit les mots nous importe peu ? C'est parce qu'au moment de sommeil avant la vie, tout n'est qu'un continuel film sans interruptions.

Puis...la chaleur qui l'avait habité disparu, tout devint froid, poignant, suffoquant. Le film s'arrêta, les belles images disparurent, il faisait noir.
Et seulement elle pris conscience qu'elle pouvait resentir des choses, en interprêter, sentir, respirer, bouger, toucher.

Mais elle était incapable de voir, la sève de l'arbre duquel elle était sorti lui collait encore la peau et les paupières. Pourtant, tout doucement elle se sentit un peu plus fiable, sûre d'elle et une grande chaleur l'envahit comme si une vie la prenait.

Cela correspondait à la nature. La natue qui voulait bien d'elle et qui lui accordait le plaisir de vivre ici... "vivre" sous la forme d'un esprit, celui des arbres... celui de la forêt.

La sèvre qui la recouvrait imprégna son corp, pour que celui ne soit plus aussi matérielle, pour qu'il deviennent une image, un représentation presque humains de là où elle venait. Et comme si elle vivait depuis des lustres elle se leva. Enfant de la nature, enfant condamné à vagabonder dans ces lieux sinistres... à Morison.

Condamné à aller parmi des êtres sans respect pour ce qu'elle chérit. Et devant cette immensité d'herbe verte, recouverte de feuilles elle pouvait voir, loin très loin au delà les pensée brutale des "autres" celles de la mort.

Vous ne comprendrez très certainement jamais ce passage si de votre vie vous nêtes pas aller dans la plus petite parcelle où la nature est livrée à elle-même, où il n'y a que le calme, et la tranquilité, le bruit de ce qui avant dominait le Monde.

Pendant un après-midi, ou mêm une demi-heure, il vous suffira soit de marcher soit de vous allonger et de regarder dans la vague, penser comme c'était avant, loin de la pollution des voitures des cours... loin de tout ça. N'y pensez plus du tout, pensez aux galopades, aux rêves, aux bals, aux belles créatures des contes, de pensez aux choses simples de boirs sans crainte dans de l'eau propre, choses qui maintenant ne sont plus possible.

Ne songez plus à votre vie de maintenant. Et quand vous repartirez, vous saurez que vous vous déplacez, mais vous n'arrivez pas à vous refaire une idée, même aproximative d'où vous allez.

Et quand vous y arriverez, quand vous entendrez les cris, les klaxons, les freins, les musiques, les chutes de matériels, les travaux, les pleurs vous ne pourrez, pour ainsi dire, plus bouger sans craindre qu'un peu de ce que vous avez gagnez auparavent, ce calme, cette séreinité ne vous fasse perdre l'équilibre.

Ce sera comme si la nature vous rappellerait. Croyez-moi j'ai déjà fait l'expérience, j'ai cru que pendant un instant j'allais courir loin et aller me refugier de ce monde qui me semblait un monde de malades ! de brutes ! de co** qui rient de quelque chose de vulgaire où il n'y pas lieu de rire.

Et on se rend compte d'une chose ... eux, ils vont vers leur destin, moi je savais que je devais retourner en cours, mais j'y allait sans réfléchir sans même me rappelait exactement en quoi cela consistait, mais les autres, eux, y allaient à contre-coeur, ou bien révisaient un contrôle stressaient, pleuraient parfois. Là je me suis dis : "ils le font parce que c'est déjà tracé qu'ils n'ont pas le choix, et dmeain se sera pareil de nouveaux mots, de nouvelles phrases, de nouvelles leçons et de nouvelles interros"

Alors que moi je pourrais être allongé tranquilement à penser à la nature, à ses souffrances, les partager avec elle...

Je crois n'avoir jamais été si proche d'elle.

Tout ce que je viens de vous dire... c'est le caractère qu'aura Mab, celui d'une fille, d'une femme, ou d'une vielle. Une personne qui change selon les regards (don) mais qui, en caractère reste : Le miroir de la nature.

Physique : Cheveux bruns comme l'écorce, yeux verts comme les feuilles, lèvre légèrement rose comme les fleurs, dans les paumes de sa main se trouvent une étoile à quatres branches blanches, comme une cicatrice mais totalement pleine.
Le teint pâle n'est pas franchement blanc, il a en fait un côté onctueux qui donne un côté beige.