Presque la fin de son excursion

[auberge]
À vrai dire, Mab en avait plus qu'assez d'être ici. Les humains restaient compliqués et il fallait croire qu'il fut de plus en plus difficile de les comprendre. Pourtant malgré certains échecs, elle arrivait à reconstituer quelques petites choses intéressantes.
Tout d'abord chacun vit à un endroit bien précis (pourquoi précis ça elle ne savait pas) alors qu'elle était, elle, habituée à vagabonder où bon lui chantait, eux devaient se rendre à un endroit précis même s'ils étaient fatigués, exténués pour se sentir chez eux. Elle, elle allait où bon lui semblait dans la forêt pour se reposer ! Eux dans leur village ils devaient se rendre à un endroit. Mais finalement elle finit par faire un rapprochement avec certains animaux qui comme eux restaient sur le même lieux. Peut-être pour des raisons de sécurité comme eux ?

Soit.

Si seulement il pouvait y avoir que ça ! Mais tout ici devait être pris, donné, attribué si un échange physique est exécuté. Elle l'avait vu quand un homme avait dû donner des choses brillantes pour s’approprier un poisson. Mais qu'est-ce c’est que ces choses brillantes pour valoir un poisson ? Etaient-elles plus importantes que la protection, le service, l'hommage, le respect ? Pourquoi donner ces petites choses précisément ? Un échange ? Pourquoi pas ! Mais en échange d’un poisson il pourrait par la suite rendre un service ou lui donner de l’eau bien fraîche, ou encore lui proposer une place dans le village (autre chose qu’elle avait compris) mais non… Alors à quoi servent-elles ? Alors ça c'était un mystère qu'elle n'avait toujours pas résolu.

Elle s’arrêta près d’une petite prairie entourée d’un barrière, ils appelaient ça un pré. Au milieu broutaient des espèces de faons avec une fourrure blanche, de petite tête ronde sans cou, qui broutait en groupe compact. Elle ne sut pas tout de suite ce à quoi cela pouvait bien servir quand un homme sortit d’une petite maison en haut d’une colline un peu plus loin, un parchemin à la main. Il descendit l’étendue herbeuse et une fois arriver vers le troupeau, il réussi à force de cris et de coups de bâtons à réunir un petit ensemble de ces animaux. Après quoi il les emmena chez lui.
Elle entendit ensuite les cris de ces derniers et avant qu’elle n’ait pût comprendre quelque chose, l’homme ressortit avec plusieurs morceaux de viande.

Ainsi ils réunissaient des animaux (complètement différents de ceux de la forêt) comme s'ils comptaient établir une forêt artificielle dans leur village. Mais là elle trouva une excuse simple, non, il ne voulait pas reproduire une forêt en éduquant leur propres animaux et en élevant des choses faites en bois pour simuler des arbres mais tout simplement pour avoir de la nourriture sous la main. Quelque chose qui n’était pas si bête mais qui perdait quelques bons côtés. Celui du plaisir de chasser plutôt que d’abattre la proie dans un coin en élevant simplement un couteau, ou encore, la patience du chasseur, celle qui fait attendre sa faim, qui la ménage et qui permet l’équilibre dans la nature. Ne manger que quand la faim devient trop forte, et pas seulement prendre quelque chose que l’on a sous la main dés que l’on a cette sensation oppressante au ventre.

Elle se releva, rabattit un peu plus son capuchon et reprit sa route. Celle-ci se déroulait sous ses pieds. Les hommes avaient des armes pour chasser, des portes pour cacher l’entrée d’un de leurs abris, des animaux en groupe pour manger, des choses étranges pour faire des échanges, des jeux faits matériellement pour leurs enfants, tout avait été pensé, même ce chemin qu’elle suivait pour aboutir à un lieu dont elle ignorait tout.

Ce village avait peut-être quelque chose de banal de ce point de vue là, mais au fond elle se demandait si la peur des humains de la forêt n’était pas l’une des nombreuses raisons qui faisait de cet endroit de quelque chose de surnaturel, et si ce n’était pas ça, alors c’est la forêt et ses habitants qui lui en donnait l’aspect.
Le grincement de la terre sous ses pas la fit sursauter. Elle s’arrêta. Tout semblait différent. Le vent ne passait plus en elle comme avant, il la contournait, l’effleurant, la terre de tendait sous ses pieds, elle ne ressentait plus cette sensation de caresse, de dialogue avec celle-ci, elle n’entendait plus le bruits multiples qui l’entourait, elle… elle ne sentait plus rien. Elle se sentait lourde, molle, sourde et … et particulièrement solide !
Ça y’est, elle était devenu comme les humains. Elle restait toujours un esprit, et elle pouvait en fait toujours entendre la nature lui parler, mais ce fut un changement si brusque que pour l’instant elle aurait du mal à en reprendre le « contrôle ».

Elle continua d’avancer, toujours. Finalement elle se retrouva dans une espèce de prairie, mais avec des pierres plates à la place de l’herbe, cela donnait quelque chose de …plat en fait. (en gros une place dallée)
Au milieu une abri, plus grand que les autres, et en pierre aux coupes droite, se dressait en défiant le ciel de sa pointe.

Il y avait autour de la porte diverse chose inscrite. Elle crut que c’était de l’écriture d’humain (elle avait vu l’homme de l’oberk le faire) mais celle-ci lui sembla encore plus complexe. Et, aussi étrange que cela puisse paraître, elle lui faisait mal aux yeux. Elle se rapprocha, devant se trouvait deux pierres à l’aspect qu’elle n’avait encore jamais vu, l’une tournée vers l’autre, et quand elle se rapprocha encore un peu plus, elle reconnut comme quelque chose d’animal dans leur forme, bien que c’étaient des animaux qu’elle n’avait jamais vu(des gargouilles).

Elle vit le petit escalier qui permettait d’accéder à la porte, de chaque côté se trouvait une rampe large en pierre qui montait avec lui, semblable à un petit muret. Arrivée en haut des quatre marches, le sol cessait de monter pour finalement mener à l’entrée, alors, à la droite comme à la gauche se trouvait sur la rampe une gargouille qui nous regardait. Quand elle arriva à ce niveau, il y eut comme un mur, un mur qu’elle ne voyait pas. Une résistance féroce qu’elle ne pouvait pas passer. Elle força, encore, encore et encore puis finalement s’arrêta.
Bon, cette chose apparemment était bien bizarre, pourquoi l’édifier si l’on ne peut pas y entrer ?

Hum… bon, elle allait essayer.

Elle se concentra, mais ne fit pas un pas. Dans l’ombre de son capuchon elle fronçait les sourcils sous l’effort. Au-dessus de la porte les inscriptions devenaient plus visibles au fur et à mesure qu’elle passait son temps à rester là, immobile. Mais après un long moment, elle réintégra son savoir de la nature en cueillant les souvenirs de son passé, en retrouvant tout au fond d’elle cette petite part solitaire et indomptable qui lui donnait son étrange pouvoir.
Elle rouvrit les yeux, se confondit totalement avec son environnement, et alors qu’elle se trouvait dans le cœur même de ce village étrange, elle retrouva sa forme d’esprit, invisible pour ceux qui sont incapables d’observer convenablement. Or, ici tous allaient en riant, discutant, regardant ses pieds, en courant, connaissant sa route par cœur et ne fixant son attention sur toute autre chose que cette bâtisse.

Elle passa sous le porche, comme un coup de vent, elle n’eut pas besoin d’ouvrir le battant, elle « marcha » vers à l’intérieur.
Que c’était beau ! Mais à quoi cela servait-il ?

Soudain, la porte eut un léger grincement comme si on eu voulu passer inaperçu. Elle fit comme si elle n’entendit rien.
[vient qui veux !]

[je viens de la prairie en attendant Elène je vais faire plus ou moin un p'tit truc qu'elle m'a expliquée pas sur que je réussise mdr (chuis bête lol)]

L'ombre de Gabrielle se fit voir dans l'entre-baillement de la porte puis le grincement s'arreta Gabrielle avait stopée le bruit désagréable de cette porte, elle revenait de la prairie ou elle avait rencontrée Elène. Elle passa dans l'entrée et baleya la salle des yeux elle sentit une légère brise c'était rare mais sa faisait du bien...Beaucoup de bien. Elle souria ces cheveux ondulés légèrement sous la brise. Elle regarda tout particulièrement le centre de la salle quelque chose l'intriguée, mais quoi ? Elle avait sentit quelque chose, mais quoi ? Deux question aux quelles elle ne serait répondre si se n'est en cherchant. Elle soupira elle était curieuse et chercherait la réponse jusqu'au bout...seul problème c'était peut-être son imagination ce n'est pas un petit vent qui ferrait l'objet d'une curiosité si ? En tout cas il y avait certainement quelque chose dans cette pièce mais quçoi ? Beaucoup de quoi sans réponses aparentes.

Mab vit une femme, une jeune femme entrer. Elle se savait pratiquement invisible, un peu comme quelque chose qui n'attire pas l'attention, mais cette femme-là avait quelque chose qui lui était familier et qui ne semblait pas être leuré.
Bizarre bizarre... Mab réfléchit, les arbres lui avaient dit qu'elle était capable d'influencer sur les pensées, mais il était aussi dit que mal maîtrisé on pouvait rendre fou une personne.
Elle avait trouvé cela tellement barbare qu'elle ne l'avait pas utilisé une seule fois. Là elle dû se retenir.

Non ! Elle trouverai toute seule et d'une manière plus délicate, et si possible avant que ce village ne la rende visible à nouveau !!!
D'ailleurs, il faudrait qu'elle fasse des recherches de ce côté-là aussi... comment ce fait-il qu'un endroit comme celui-ci "métamorphose" les esprits. Perdue dans ses pensée elle avait presque oublié la visiteuse, restant parfaitement immobile et ainsi ne causant aucun mouvement qui pourrais déclencher un phénomène bizarre dans un bâtiment fermé.

Elle avait l'habitude de passer inaperçu sous cette forme, mais dans la forêt !! Là elle ne savait même pas où elle était, à quoi ça servait et surtout qu'est-ce que c'est que ce mur invisible ??????

Elle observa la fille, elle aussi se posait des questions. Eh bien ! Elle qui croyait passer inaperçue... apparemment cette fille-là a plus d'un tour dans son sac ! Bon, s'il fallait être démasqué, autant l'être par quelqu'un comme elle.
Soit, tout était dans la vitesse, si l'on va doucement les sens sont tout-à-fait capable de sentir, voir, ressentir, entendre quelque chose de louche. Si l'on va très vite, il est vrai qu'il un courant d'air, mais les humains se focalisent essentiellement sur leur vue, or celle-ci n'est pas très bonne et ne perçoit pas les mouvement rapide (mouvement =ondulations étrange quand un esprit bouge).

Elle respira doucement, déjà, la visteuse sembla le sentir car écoutait attentivement maintenant. Puis, sans prévenir, Mab fonça comme une flèche vers elle, non pas pour l'attaquer, mais elle prenait un élan pour s'élancer au dessus d'elle. Elle s'accrocha à truc-machin qui pendait au plafond (ça s'appelle un chandelier ^^) et qui lui paraissait solide... ennui toutes les bougie de ce chandelier furent soufflée.

Elle voulait être discret ? Ben c'est pas gagné.

En fait elle aurait voulu sortir, mais au dernier moment elle se rendit compte qu'en gagnant la confiance ou même en simpathisant avec la nouvelle-venue, elle pourrait connaître un peu mieux le monde des hommes.

Et en plus, cette dernière avait levé les bras pour bloquer quelque chose qu'elle avait sentit. Cela prouva la sensation de Mab. POur avoir levée les bras, cette fille avait sentit que quelqu'un se trouvait là, elle ne savait pas où, ni quoi, n'était peut-être pas très enchantée, ou peut-être était-elle curieuse, soit, mais en tout cas elle avait une sorte d'instinct qui menait petit à petit à une conclusion qui ne lu déplaisait pas. Et si cette demoiselle venait en partie de la forêt ?

Elle décida de mettre les choses en place

"Qui êtes-vous damoiselle-ne me dites pas implement une villageoise- ? Que cherchez-vous ici et surtout craignez-vous/voulez-vour voir qui je suis ?"

Mab ne le savait pas, mais la dernière question n'était pas courante ches les hommes, mais elle avait en fait invité la femme à répondre à ses question d'un ton tout-à-fait ordinaire (pour un esprit ce qui donne quelque chose de flottant, de doux , mais fort, comme le vent en fait) et se savait polie en l'invitant les poser des questions à son tour.

[je sais, une bonne partie du texte n'est pas français .;.. mais je suis crevée !!! soyez indulgent ! lol ... je ne sais pas ce que t'as confié Elène ^^ mais je vais voir ce beau rpg de suite ^^]

[elle me l'a dit par msn ^^" lol et pis tant pis de toute facon c'est compréhensible ^^.]

Gabrielle baleya la pièce du regard le mouvement c'était interomput et une douce voix vint bercer son sens de oditif si bien qu'elle souria.
*Un esprit ?*
Elle souria d'un air amusée et regarda partout autour d'elle pour voir si quelqu'un était dans le coin pour ne pas trop se faire découvrir pour rien enfin pour ne pas être chassée du village heureusement personne à l'horizon.
"Je me nomme Gabrielle et je suis...Une lycan je viens plus ou moin de la foret, vous devez être un esprit quelque chose dans le genre votre voix et votre "invisibilité" le prouve du moin je le crois."
Elle souria heureuse d'avoir enfin compris mais peut-être se trompée d'elle mais qui est mieu placée que cette personne à la voix si douce pour lui dire ? Elle regarda dans la direction d'où la voix provenait bref son regard était dirrigé droit sur Mab tout ces sens étaient en "alerte" aussi avait-elle sentit beaucoup de chose d'un, un mouvement de l'aire de deux une voix d'une douceur incroyable provenait de se côté là et enfin instinct lui disait elle écoutée toujours tout ce qui pouvait l'aider à découvrir quelque chose étant très curieuse elle trouvait toujours se qu'elle cherchée.

[c'était tout de même un rpg ^^... euh je sais j'ai mis un temps fou à répondre... tu m'excuse ? non parce que, avec les examens j'avais pas le temps cestemps-ci ^^""]

"Je me nomme Gabrielle et je suis...Une lycan je viens plus ou moin de la foret, vous devez être un esprit quelque chose dans le genre votre voix et votre "invisibilité" le prouve du moin je le crois."

Une lycan ? L'esprit sourit, une lycan... tant mieux. Elle n'avaits pas tout-à-fait tort en disant qu'elle venait de la forêt. C'est... c'est qu'elle en avait vu des humains se métamorphoser lors d'une soirée de pleine lune.
Au fond, ce n'était pas un spectacle très enrichissant, mais au moment où la transformation se terminait, il y avait une dominance loup qui quelque part attirait la partie humaine dans l'âme profonde de la forêt. Et c'est ce côté-ci qui intéressait Mab, ce côté qui la reliait avec la forêt, ce côté-ci où en ce moment-même elle ressentait dans cette personne qui le regardait, sans la voir.

Puis, toujours de sa voix d'esprit, formant les mots humains (ce qui donnait peut-être un drôle de mélange mais trop désagréable) elle répondit à la lycan :
"Un esprit ? ...hum... peut-être. Je ne sais pas comment vous nous appelez dans votre langue, nous, nous nous appelons comunément enfant des arbres, enfant de la terre, enfant de l'eau, enfant du feu, enfant de la mort... cela dépand d'où l'on vient.
Moi, je suis une enfant des arbres."

Elle fit savoir ainsi quelle était du type féminin. A quoi bon le cacher puisque déjà elle devenait un peu plus visible, elle devait être maintenant comme une image au contour encore flou et sans aucunes couleurs, toujours un peu transparente.

Elle se laissa tomber à terre passant au travers du chandelier.
Quand elle atterrissa les bougies se rallumèrent.

"Mais assez de présentation, si je suis ici c'est entre autre pour connaître des humains mais surtout pour les comprendre."

Elle hésita :
"Voilà près de deux siècles que je foule la terre, voilà une journée que je suis ici, et entre tout ce que j'ai pu voir, le village des hommes est ce qu'il y a de plus étrange."

Elle réfléchit et finalement se lança, avançant vers la lycan :
"Quand je suis dans la forêt je vois des humains arracher les arbres, les "couper" comme ils disent, mais ils les arracheraient que ça ferait la même chose, qu'ils brûlent parfois des zones immenses d'arbres, parfois par accident pargois pour agrandir leur village, leur pré, leur "potager" chose dont j'ignore encore le sens.
En résumé ils enlèvent à la forêt ses vivants, lui prend de ses poumons, ils fument, boivent mangent, avec tout ce qu'ils ont bien put lui prendre à la forêt... et ils vivent, pas longtemps, mais ils vivent. Et beaucoup les remplace"

Elle arrêta d'avancer, soupira baissa la tête un moment puis comme pour conclure d'un air triste, juste devant son interlocutrice :

"La forêt attend toujours qu'on lui rende ce qu'on lui a volé."

Puis elle se retourna, emballée :
"Bien sûr ils ont besoin de bois pour se chauffer mais pourquoi faire du feu quand il fait déjà chaud ? Bien sûr ils ont besoin de bois pour remplacer les poutres qui tombent, mais alors pourquoi prennent-ils plus soin de leurs statuettes que de leurs poutres ? Bien sûr ils en ont besoin pour faire cuire, mais alors pourquoi en mettre trop dans un même feu pour ensuite mettre tous les fagots (même encore utilisables) loin, loin dans un endroit ils vont se mouillé, ramollir, et pourrir ?
Aimeriez vous, vous qu'un de vos membres, votre tête par exemple soit balancé une fois que vous êtes morte loin dans l'oubli pour pourrir, moisir et être mangée par les vers ?"

Elle s'interrompit ;
"Car les arbres devient des cadavres au moment même où ils sont arrachés."

Elle se rendit compte qu'elle parlait toute seule de quelque chose qui très certainement ne faisait aucun effet sur la lycan. Mais au fond elle espérait qu'elle serait touchée et qu'elle l'aiderait.

"Voilà pourquoi je suis parti dela forêt qui se meurt et qui n'ose même plus repousser les montres tel que la bête noire car cela représenterai presque une défense entre elle et les hommes."

Elle regarda autour d'elle, puis se retourna de nouveau vers la lycan (qui n'était pas restée immobile tout du long) :

"M'aiderez-vous à mieux vous comprendre ? J'espère sincèrement trouver une solution pour que ce temps de tristesse se termine."

Gabrielle tout au long de se discour avait chercher ou l'esprit se trouvait car elle bougeait elle le savait puis elle comprit qu'elle avancait dans sa direction alors elle interompit ces recherches sachant qu'elle n'était plus très loin.
"Les humains sont cupides...Je suis cupide, Nous sommes tous cupides."
Elle souria tristement.
"Mon aide si je puis te l'accorder est toute à toi..."
Elle posa sa main sur l'encadrement de la porte d'où elle venait qui était en bois. Les nervures étaient en reliefs sous ces doigts.
"Tu viens de la foret j'en suis heureuse pour moi la nature est primordiale je ne brûle pas de bois pour me réchauffer je n'en ai pas besoin. Personne n'en a réellement besoin c'est une facon d'y penser qui fait qu'on a froid."
Elle regarda en direction de l'esprit de la foret.
"Mon bute n'est pas de tuer mais de ne pas être tuer."

[je ne t'en veux absolument pas tu peux me faire confiance et puis mieu vaut tard que jamais ^^]

[voilà une personne pas rancunière !^^lol]
Elle regarda la lycan, elle l'a trouva belle maintenant qu'elle était proche. Elle-même ne s'était jamais que vu dans l'eau, encore que cela n'était pas précis, alors elle n'avait aucune idée de son propre physique.

UNe façon d'y penser qui fait qu'on a froid. C'est raisonnement plutôt étrange.

"Puisque tu veux bien m'aider, j'aimerais commencer par ces choses rondes et jaunes que se donne les humains en échange de nourriture... ils semblent en raffoler encore plus que la mangeaille... d'ailleurs l'aubergiste a fait une drôle de tête quand je lui est sortit ça ..."

Elle prit quelque chose dans sa poche et la lança à la lycan, consciente que celle-ci ne pouvait voir ce qu'elle lui montrait si elle le touchait.

La jeune femme se retrouva avec une pépite d'or dans sa main.

"Qu'y a t-il d'intéressant dans ces choses matérielles ? Qui ne valent certainement pas mieux qu'un bon service en échange du pain offert... non ?"

Mais elle arrêta son interrogatoire là.
Elle se souvint de cette dernière phrase :"Mon bute n'est pas de tuer mais de ne pas être tuer."

"Que voulais-tu dire en disant que tu ne devais pas te faire tuer... seraient-ils capable de te tuer parce que tu es lycan ?"

En parlant de ça, elle se rendit compte qu'elle parlait d'un problème plus profond que celui de ces choses rondes... et elle apprendrait certainement plus de choses sur les hommes en entendant la réponse à cette dernière question.

[merdique, je sais ^^]

[pas rencunière pour sa non lol mais y'a des trucs que je peux pas supporter mdr comme tout le monde mais j'ai rien à te repprocher quand à ton poste si il est merdique alors le mien c'est pas du merdique c'est du pourris et même archi pourris XD]

Gabrielle souria lorsqu'elle recut la pépite d'or entre les mains.
"Il s'agit d'une pépite d'or c'est on va dire une monnaie d'échange l'argent comme on l'appelle par exemple tu vas acheter un pain il va valoire tel ou tel nombre de pièce d'or."
Elle souria d'un air amusée.
"Quant au amrchand en général il n'ont pas l'occasion de posséder une pépite d'or qui vaut très cher beaucoup d'argent en faite."
Elle regarda la petpite avec plus d'attention. Lorsque Mab posa la dernière question Gabrielle releva la tête.
"Les hommes ont peur de ce qu'ils ne comprènnent pas je fais partis des choses qu'ils ne comprènnent pas étant une jeune fille capable lors des nuits de pleine lune me transphormer en loup ils ne trouvent pas d'explication à sa et le craignent donc."
Elle souria d'un air amusée.
"Pour cela personne...ou presque sait que je suis Lycan."

Bizarre, étrange, compliqué, mystérieux, incompréhensible, inconnu, sans suite, sans début, sans fin, sans mot, sans rien. Un cercle vicieux qui se ressert parce que à chaque pas qu'elle faisait dans la connaissance des hommes, une chose lui était révélée pour qu'une autre lui soit de nouveau complètement : Bizarre, étrange, compliqué, mystérieux, incompréhensible, inconnu, sans suite, sans début, sans fin...

Elle ne savait rien de cet endroit, elle ne l'avait même jamais imaginé ! Elle ne pensait pas que cela puisse exister, et pourtant elle se trouvait dans cette chose sans en savoir même la fonction.

Mais au mois elle avait compris quelque chose, cette lycan cachait sa nature aux hommes car étant une lycan elle aurait incomprise. Elle aurait semblé bizarre, étrange, compliqué, mystérieux, incompréhensible, inconnu, sans suite, sans début, sans fin.

Et cette conclusion l'amenait à sa première trouvaille, les deux monde réagissait de la même façon l'un envers l'autre. Un peu comme l'espérait Mab en venant ici. Car à ce moment elle espérait qu'elle trouverait des hommes "déchiraient" la forêt mais qui en fait ne la comprenait pas.

Au moins elle voyait où elle pourrait appuyer pour "réconcilier" les deux mondes.
Mais maintenant, avec toutes les différences qu'il y avait, elle se demandait si c'était possible.

Elle était déjà pratiquement visible, mais cela restait flou quand une grande porte s'ouvrit. Elle sursauta, dans la mesure où les esprit peuvent sursauter avec leur corps, et sans même réfléchir elle se cacha derrière une dame qui était restée immobile tout le long de leur conversation et n'avait même pas tressailli quand Gabrielle avait qu'elle était une lycan, elle avait conclu que c'était une amie. Et lui demanda de ne pas bouger (pour sûr ça risque pas vu que c'est une statue à l'effigie de la Vierge Marie)

Elle avait laissé Gabrielle, non pas par lâcheté, mais parce qu'étant une villageoise elle passerait moins inaperçue que si elle se trimballait avec un esprit ! (heureusement que Mab avait finit par comprendre la subtilité de l'incompréhension entre monstres et humains !!!)

Les hommes étaient vêtus d'habit amples, de robe vraisemblablement, sans pantalon, et simplement tenue par une corde.
Mab se réjouit de se rappeler des tous les noms de ces nouvelles choses qu'elle voyait.
Ils avaient d'ailleurs un physique ironique à côté de celui de Gabrielle. Deux styles bien différents.
L'un d'eux surtout était assez remarquable avec sa ventre tombant par dessus sa "ceinture", ses pommettes rebondis rosis et lisses comme celles d'un bon gros bébé, de grands yeux bleus laissait vagabonde un regard au premier abord superficiel, et pas spécialement intelligent. Son pas, lourd, bruyant, et pas franchement gracieux, semblait faire l'objet d'une attention particulière de sa part pour le rendre plus ... convenable et impressionnant.

Peine perdue.

Sa tête n'avait plus tous ses cheveux, une partie était taillée au centre comme si cela était fait exprès. Mais ce n'était pas quelque chose d'unique dans cette compagnie car tous avaient cette particularité.

Cet homme qui faisait presque peine à voir semblait pourtant être le chef. Par contre le chef de quoi ! Ce n'était même pas la peine qu'elle se le demande ! Elle n'en savait strictement rien.
Elle le verrait chef d'une meute d'ahuris, car tous semblaient un peu fou et lointain. Comme abrutis par une seule pensée. Bizarre, bizarre encore une fois.

Elle ne fut pas au bout de ses peines, tous s'agenouillèrent ou s'essayèrent devant elle, ou plutôt devant celle derrière laquelle elle était cachée, en murmurant des choses inintelligibles.

Oô ?????

Mab haussa un sourcil, mais c'est que pour un peu elle les pensait fous ceux-là !

Elle s'était rendu compte à la longue et surtout au contact de celle-ci, que celle qui la cachait n'avait rien d'une femme à proprement parlé, mais qu'elle ressemblait plutôt à ces choses qui étaient devant le bâtiment.
Immobile, de pierre.

Elle pensa que peut-être ils essayait de communiquer avec des choses matérielles dépourvus de paroles... pas bête !
Mais c'est que chez les hommes, il y avait apparemment les chose dépourvues de parole, et les choses dépourvues de paroles.

L'un était les arbres, l'eau, la terre, le feu, l'aire (le vent), qui était bel et bien pourvus de parole, et les choses véritablement dépourvus de paroles. Cette chose par exemple.

Etrange qu'ils se tuent à parler à ça alors qu'ils iraient plus vite d'apprendre à parler aux arbres !!! Et ça l'aiderait bien en plus !

Revenons-en à l'homme rebondis. Et un peu jovial bien qu'il s'efforçait d'avoir la voix profonde comme celle d'un grand sage celle-ci était haute perchée, et difficile à atteindre...
Il discutait avec Gabrielle.
Ou plutôt... il parlait à Gabrielle et Gabrielle subissait.

"blablabla... bien mon enfant (mon enfant ???) je suis heureux de vous revoir dans mon église ! (une église ???)... blablabla... cela faisait longtemps que bous n'étiez venue vous confesser (se confesser ???)... blablabla… car c'est pour ça que vous êtes venu n'est-ce pas ?! (oui oui bien sûr...) blablabla......."

Non là elle n'en pouvait plus, sa voix de crécelle lui faisait mal aux oreilles jusqu'à lui en percer le crâne. C'était décidé, elle allait sortir d'ici juste pour avoir la paix !

Bon... une idée. Si elle allait vite ils ne verraient rien.

Elle couru, renversa une boîte par-là, une croix par-ci et une cierge par-là...et elle se recacha.
Vu de comme ça, ça avait l’air stupide comme technique, mais elle ne pouvait pas partir et laisser Gabrielle noyée par des paroles !!!
Et en plus le résultat était des plus satisfaisant :
L’homme s’arrêta de parler (ouf !) regarda autour de lui comme s’il essayait de deviner la provenance du bruit, puis horrifié en voyant les objets voler (parfois des objets lourds donc incapable d’être soumis à un quelconque courant d’air) et tomber à terre, ses yeux s’éteignirent, ils s’agenouilla croisa les mains et leva ses bras, ce qui donna quelque chose d’assez comique avec son physique.
« Démons ! Partez je suis représentant de notre seigneur, vous êtes dans sa maison … Démons partez !!! »

Pour toute réponse Mab fit tomber un autre objet qui se trouvait à portée de main.

[Vas-y déchaîne-toi ^^ on va leur donner une belle frayeur !!! lol ^^]

[MDR AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH l'attaque !!!!!!!!!! désolée de pas avoir rep plus tôt j'avais pas vue XD]

Gabrielle avait écoutée son sermon avec presque de l'exaspération visible sur son visage elle avait posée un doigt sur sa joue et tappée du pied d'un air impatient. Au moment ou Mab avait fait tomber un objet Gabrielle avait l'intention de le faire taire d'une facon assez spéciale et directe. Elle ne pouvait pas se montrer au grand jour par contre...Elle eut presque un sourire sadique à cette pensée elle n'allait quand même pas faire sa ? Oh si qu'elle allait le faire et avec un plaisir évident et amusant !
"Monsieur vous devriez lui offrir ce que le démon veut peut-être cela le satisfera-t-il ?"
Elle espèrait que Mab puisse comprendre que de cette facon elle pouvait demander la paix pour la foret et la nature ce que Gabrielle souhaitait au fond d'elle, elle n'aurait plus peur de trouver un homme sur sa route qu'elle dévorerait sans s'en souvenir au matin à part qu'elle se retrouverait tachée du sang de sa pauvre victime étant là au mauvais moment.
"Satisfaire un démon au de là du possible pourrait le faire partir."
Le voir agenouillait ainsi ayant peur d'une femme d'une beauté suprême qu'il vénêrerait si il savait ce qu'elle était était presque comique pour elle voir présque hilarant. Elle bougea un peu sur le côté regardant dans la direction où Mab se trouvait si elle paraissait trop calme on l'accuserait peut-être d'être démonne elle aussi. Elle se souvint qu'un démon ne pouvait entrer dans une eglise elle était gardée par des gargouilles les moin et l'evêque n'y avaient pas pensée pauvres idiots sans cervelle à part un petit poids qui leur serre à manger !
*Demande ce dont tu as besoin.*
Elle avait envie le voyant agenouillé ainsi de lui donner un bon gros coup de pieds aux fesses qui l'aurait fait tomber au sol tête en avant fesses bien relevé de quoi le faire voler dans le mur Gabrielle dû se retenir cela faisait si longtemps qu'elle voulait le faire ! Lo'ccasion se présentée et elle ne pouvait pas le faire quel malheur ! Sa aurait pu être marrant et surtout appaisant ce gros tas l'ennuiyait à chaque fois qu'elle venait à chaque fois qu'elle faisait un pas dans l'eglise il était obligé de venir la voir et de lui parler avec son ton mielleuh et presque comme si il avait manger jusqu'à en exploser un ton bourru et mielle l'horrible mélange et disgracieux en plus.

[Bon allez je me lance XD, pauvre petit prêtre il va souffrir
Gentil l'esprit, gentil ! Pas bougez ! mdrrr
coup pied dans le derrière, j'étais morte de rire Very Happy

]

"Monsieur vous devriez lui offrir ce que le démon veut peut-être cela le satisfera-t-il ?"

La satisfaire ? Mais la satisfaire en quoi ? Mab dut réfléchir pendant un moment avant de comprendre la ruse de la lycan.
Pourquoi pas après tout ?

Oui mais alors comment faire parvenir le message à cet homme ? Elle pourrait tout simplement lui introduire l'idée dans sa grosse tête mais elle avait pris un certain plaisir à le terroriser et cela gaspillerait la fête.
Elle décida donc de procéder d'une toute autre façon.

*Demande ce dont tu as besoin.*
Elle lui répondit toujours par pensée :
*Merci, j'espère pour lui qu'il fera ce que je lui demanderai*

Elle regarda les autres prêtres, totalement désorientés certains c'étaient ragenouillé et marmonnait avec plus de ferveur à la dame immobile tandis que d'autres devaient se dmender s'il fallait d'abord mettre le pied droit devant ou pied gauche pour prendre la fuite.
Elle sourit, c'était parfait, ils étaient déjà limite fous ben il ne lui resterait pas grand chose à faire pour en rendre un complètement.
Et en plus la perspective de trouver le moyen d'établir un lien avec la forêt lui donnait des ailes, c'était le cas de le dire.
Elle ne toucha qu'à peine le sol tellement elle se pressa d'arriver vers l'un des : "Je commence par mettre le pied droit et après on verra"

Puis doucement elle passa sa main à travers son crâne, d'habitude elle détestait ça mais là la simple idée d'arriver à son but lui fit oublie la chose ragoûtante qu'elle palpait dans sa main.

On pouvait tout juste la voir bien que s'ils faisaient un peu attention ils pouvaient la voir.
Vite Vite ! A voilà.

Elle déversa une multitude d'image dans son crâne les unes sans trop de rapport les autres si rapproché qu'il devait avoir un mal de tête pa possible. D'ailleurs il ne mit pas longtemps à ne plus tenir. Il se mit à beugler.

Elle avait presque fini...
Les autres regardait leur "camarade" se rouler par terre (il s'était litéralement jeté sur le sol) et ne comprenaient pas, ou plutôt ils en avaient une vague idée et ça les effrayait.

Enfin ! C'était pas trop tôt. L'homme avait tellement été soumis à un examen de souvenir, de pensée, ses idées avaient été retroussées, vidées comme si on les jetaient contre les parois de son crâne dans un bruit infernal, que maintenant il se trouvait vide, à la merci totale de Mab.

Ce n'était pas spectacle beau à voir. L'homme était devenu blanc comme de la craie, de son nez s'écoulait un flot de sang, ses yeux étaient ceux d'un avaugle, vitreux, et à force de coups contre les banc et le sol, son corps était meurtris et presqu'un peu difforme aux endroits où ses membres s'étaient cassés.

Mab ne perdit pas une minute, et juste avant qu'il ne soit dans le chapitre de la mort (car là elle n'avait aucun pouvoir) elle s'engouffra dans le corp.

"Elle" se releva, dans le corp de l'homme elle ne ressentait pas sa douleur, c'était lui qui souffrait, elle, elle était juste de passage et le contrôlait.

Parfois quand elle le fit parler il y avait des bruits inhumain qui sortaient :

"Humain ! Zuarhg, écoute la voix des plus jeunes, Blurz, et fais savoir à tes semblables, Grongrz, que la colère de la forêt sera terrible si, Truanglll, vous ne la laissez pas pousser, Jrux, grandir, Xridzor, tranquillement, prenez ce qui vous est nécessaire pour vivre, Lrands, laissez les supperflu, car la prochaine fois, Dtrangs, je serais sans pitié !"

Puis elle partit, car la mort commençait à tallaidé l'homme de telle sorte qu'elle ne put plus la retenir. Elle retourna se cacher aussi rapide que l'éclair.

Attendant la suite...

[j'imagine bien ton perso donner un coup de pied au prêtre en prétextant qu'elle était sous l'emprise du démon XD]

[mdr joli ^^]

Gabrielle avait regardée le spectacle aucunes émotions sur le visage pas même de la peur de la pitié rien absolument rien. Elle n'avait aps bougéed'un poil d'un pouce rien elle était restée de glace. Une fois qu'il fut aux limites de la mort se retint de lui coller le gros coup de pied qu'il n'avait pas volé puis elle se souvint de ces nombreux passages ici qui furent un veritable enfer et c'était el cas de le dire à cause de lui elle contrôla sa force pour ne pas attirer l'attention des autres et lui colla une gros coup de pieds au fesses qui le fire glisser auu sol jusqu'à une statue et s'écraser dessus la statue vacilla sur son socle et tomba par terre une chance elle tomba à coté de l'homme et sur le pied d'un des disciple qui hurla de douleur personne n'avait remarqué le geste de Gabriell etant mieu elle n'aurait pas à trouver une excuse elle regarda vers Mab en souriant.
*Je crois qu'ils ont compris sinon je m'en occuperait personnellement et là il n'y aura pas une seule mort crois moi ils comprendront bien vite.*
Elle souria d'un air amusée tandis que certains d'entre eux courraient dehors arreter les bucherons pour qu'ils arretent de couper les arbres pour le moments elle sortit de l'église attendant Mab de l'autre côté si elle avait d'autre questions à lui posée elle avait toutes les réponses qu'elle pouvait souhaiter.

[XD, rôôôh ! Pauvres bichounes !XD
ptdr, pour un peu je ferais ça tous les jours *sadique* mdrrrr]

A peine avait-elle rejoint sa cachette que le pantin qu'elle avait "utilisé" comme messager lui tomba carrément dessus.

Oô !!!!

Inutile de préciser que la dame la traversa et que l'homme, devenu cadavre en passant, en fit de même. Brrrr ! Elle eut l'impression d'avoir plongé dans de l'eau glacée.

Comme la statue était au sol, elle put pleinement voir les autres s'enfuir, très certainement pour arrêter le massacre du dehors.

*Je crois qu'ils ont compris sinon je m'en occuperait personnellement et là il n'y aura pas une seule mort crois moi ils comprendront bien vite.*

Pour sûr, si là ils n'avaient pas compris c'est qu'ils étaient vraiment bouchés et dans ce cas elle ne pourras rien faire pour les sauver du cataclisme que leur préparait les deux "femmes".
Bon, elle emboîta le pas de Gabrielle. Elle remarqua en passant qu'elle avait bien fait de faire vite car de nouveau elle devenait un peu plus visible. Cette fois quiconque pouvait la voir. Encore un peu et cela aurait été fatale.
Elle passa la porte... où plutôt elle força la porte, peinant devant les gargouilles. Mais finalement elle réussit là encore à passer.
Gabrielle l'attendait. En fait elle n'avait plus énormément de questions. En entrant en contact avec le prêtre elle avait appris tout ce qui touchait le monde des hommes.

D'ailleurs elle se demandait pourquoi elle n'avait pas penser plus tôt à utiliser ce moyen pour pouvoir mieux connaître leur attitude.
Peut-être parce que c'est un moyen dangereux, désagréable et qu'elle n'était pas criminelle au point de s'en prendre au premier innocent.
Bon. Mais elle avait tout de même quelque chose à demander. Quelque chose qui concernait le village, une ignorance qui la frappait. Ne savaient-ils donc pas ?

mais avant :
"je trouve que ça a été un moment tout-à-fait divertissant ! Bien qu'un peu gluant sur les bord mais bon..."

Elle ria doucement, puis comme la question la tracassait elle lui demanda franchement :

"Ce village ne t'apparaît-il pas bizarre pour en être un ordinaire ?"

En fait, à force de vagabondage dans la forêt Mab avait appris, et remarqué que tous ceux qui voulaient en sortir se perdait dans la luxuriante étendue noirs des bois, ou bien tournaient en rond et arrivaient de nouveau devant les portes du village, ou bien encore se faisaient dévorer.
Mais les villageois semblaient l'ignorer car dans l'esprit du prêtre cette idée était confuse, voire presque effacée comme si cela était sous l'emprise de quelques magies.

Mais ça Mab en était pas sûre et voulait le "témoignage" d'une personne plus stable que le gros prêtre préotubérant.

[mdr la grosse sadique du coin c'est moi na! XD]

Gabrielle regardait dehors le ciel dorée par le soleil les nuages semblablent à du coton les oiseaux qui volaient mais qui évitaient de se poser dans un endroit dangeureux bref la vie même si tout cela était assez étrange tout dans ce village était étrange en faite. Elle entendit Mab et souria.
"Ce village est etrange et personne ne peut en sortir c'est une sortte de cercle vicieux il y a toujorus quelqu'un qui veut sortir, et entre nous je comprend, et qui soit reviens au point de départ soit ne reviens jamais ou une autre solution se fait mordre et devient...Co...Une étrange créature."
Elle regarda les passants du coin de l'oeil.
*Je commence à avoir faim la pleine lune n'est plus loin...*
le jour ou elle irait à la foret pour ne pas faire de mal n'était plus si loin avec la pleine lune en faite sa lui faisait déjà peur mais elle cachait se sentiments qui pourtant la rongée de l'interieur c'était devenu insupportable.
"Tu comptes faire quoi maintenant ?"
Déjà son sourire avait disparut la pensée à la quelle elle venait de faire face commencait déjà à faire l'effet de d'habitude la peur mais pas visible aux yeux des autres elle n'avait plus envie de sourire et attendait la pleine lune pour que tout sa se termine le plus vite possible.

[je peux être la deuxième alors XD]
...
Un cercle vicieux. On ne pouvait en sortir. Et ben et ben. Elle était contente d'appartenir à la forêt et d'y être attachée car elle n'éprouvait alors aucun plaisir de partir. Mais elle comprenait que de vivre ici dans cet endroit emplie de magie et de toutes sorte de rumeurs (à faire dresser les cheveux sur la tête) devenait au fil du temps bien vite insupportable.

Puis, sans en comprendre la cause, le sourire de Gabrielle, qu'elle considérait maintenant comme une amie, disparu.

"Tu comptes faire quoi maintenant ?"

Mab hésita. Mais bon, autant être franche, elle savait que c'était la meilleurs solution à adopter avec Gabrielle.

"J'ai promis de revenir une fois que j'aurais eu ce que je voulais, j'ai eu ce que je voulais, et elle le sait, alors autant partir maintenant et revenir plus tard je peux."

Elle laissa couler le silence et puis elle se rapella que son amie était lycan et que les nuit de pleine lune elle devait se trouver bien embarrassée, incapable de trouver un endroit vraiment sûr.
Peut-être que ...

"Je viens de penser... si cela t'arrangerai d'avoir un endroit où aller pour tes "mutations", je pourrais t'aider, et Ecorcre d'Argent t'acceuillerait branches ouvertes si e lui racont comment tu m'as aidé..."

Elle avait sur le moment oublié de lui expliquer due Ecorce d'Argent était son bouleau-mère.

Gabrielle mit ces mains dans ces poches et regarda le ciel d'un oeil presque nostalgique plongée dans ces pensées elle repensées revivait ou réendurée le moment ou elle s'était réveillée au milieu des cadavres de sa famille recouverte de leur sang aujourd'hui encore personne ne sait qu'en réalité l'assassin n'était autre qu'elle. Mais pourquoi donc était-ce tombée sur elle qu'avait-elle fait pour recevoir sa pourquoi elle ? Elle se reprit en main sentant que Mab pensée à la même chose qu'elle...La pleine lune elle tourna le visage et la regarda ce n'était pas le moment de se plaindre les choses étaient ainsi et non autrement.
"Je ne sais pas si personne ne risque de venir à ce moment là je veux bien j'espère ne blésser personne..."
C'est vrai à chaque mutation elle ne se souvenait pas de ce qui s'était passé durant la veille sa l'effrayée toujours tellement qu'elle allait voir si il ne manquait eprsonne au village mais souvent c'était le cas aussi avait-elle finit par se fier au sang qu'elle avait sur elle savoir si il était humain ou animal n'était pas dur.
"J'accepte mais qui est ecorce d'argent ?"
Un arbre surement ecorce cela ne pouvait aller qu'à un arbre enfin elle ne pouvait en être sur tout était si étrange par ici. Elle était partit dans sa nostalgie sa n'allait pas partir comme sa avoir rencontrée Mab lui avait fait un tel plaisir qu'elle ne manquerait aps de venir dans la foret pour aller la voir et discuter avec elle à l'occasion et si elle la trouvée.

[ouais deuxième je veux bien mdr]

[ouf sauvée !ptdr]

"Je ne sais pas si personne ne risque de venir à ce moment là je veux bien j'espère ne blésser personne..."

Mab réfléchis, oui c'est vrai qu'en même temps elle ne pouvait pas lui prommettre une sécurité totale pour les passants... mais d'un autre côté elle avait une idée derrière la tête, après tout pourquoi pas ? Pourquoi est-ce qu'elle n'arriverai pas à faire oublier, au loup-garou qui se présenterait à elle une fois Gabrielle transformée, sa soif de sang ?
il ne fallait pas rêver bien sûr, mais si vraiment ça ne marchait pas elle porrait toujours essayer d'éloigner les hommes, ça c'était dans ces cordes elle le faisait presque tous les jours.

Et puis :
"J'accepte mais qui est ecorce d'argent ?"

Elle fut heureuse d'apprendre qu'elle était d'accord, comme ça elle se sentait utile et avait l'impression de rendre le service que Gabrielle lui avait donné, elle se sentit mieux sans en expliquer davantage la raison.
Mais elle se rappella que Gabrielle ne savait pas grand chose de ses propres coutûmes à elle, elle sourit, décidément elle oubliait tout le temps de s'expliquer !

"Désolé, je vais t'expliquer. Ecorce d'Argent est le nom de mon bouleau-mère, c'est elle qui m'a mis au monde si tu veux... Tu vois, certains des enfant de la forêt vienne de chêne, ou de Saules, moi je viens d'un bouleau. Les enfant de l'eau peuvent venir du lac, de la rivière, de la cascade... ceux de la terre d'une pierre, du sable, ou bien de la terre même de ce sentier... ceux du feu son assez partclier et très rares, il ne peuvent naître que dans les cendres d'un feu qui a été allumé et qui s'est éteint sans être déranger. Ainsi si vous ne ralimentez pas un feu, si vous ne le tenaillez pas pour le rendre plus vif peut-être qu'un enfant de feu viendra au monde. Mais ça reste rare, c'est choix du feu et celui-ci est de nature très solitaire."

Elle s'arrêta là et comme Gabrielle avait un semblant d'intéraction elle lui offrit :
"Si tu veux je t'expliquerai comme tu m'a expliqué pour vous les humains mais il y a beaucoup à dire."

"Sa tombe bien j'ai tout mon temps."
Ainsi les enfant de la nature naissait de l'élèments même qu'ils étaient c'était interressant pourquoi n'était-elle pas une enfant elle aussi elle aurait moin d'ennuis si ce n'est celui d'aider la nature à rester en vie et en éveille ?! Elle se sentait si seule par moment qu'elle en venait apr moment à ce détestée elle-même.
"C'est beau j'aimerais bien être à ta place."
Elle regarda Mab et finit par sourire ce qui était rare dans ces moments de déprimes. La nature elle en était si proche lorsqu'elle était garou qu'elle n'attaquerait probablement personne en la rpésence de Mab mais cela n'était surement qu'un rêve elle était sauvage et dangeureuse lors de sa mutation le carnage de sa famille lui revint en mémoire et elle prit peur qu'elle cacha en vitesse pour eviter de montrer ces sentiments une choses qu'elle n'aimait pas beaucoup. Bon sang mais elle en arrivait même à avoir peur d'elle-même mais quand on voyait le carnage qu'elle avait provoquer on en venait à la comprendre. Certains iraient surement jusqu'à lui dire qu'elle ne méritait pas de vivre pas après ce qu'elle avait fait.

"Sa tombe bien j'ai tout mon temps."

Mab la regarda, elle vit un sourire se dessiner sur le beau et jeune visage de son amie. Il l'illuminait complètement. Apparemment elle aimait l'écouter raconter tout cela...

"C'est beau j'aimerais bien être à ta place."

Ma baissa la tête, elle était contente qu'elle trouve ça beau, et pour un peu elle aurait fait tout un exposé car elle aimait parler des merveilles de la nature quand l'interlocuteur était capable de les comprendre. Mais en même temps le "j'aimerais bien être à ta place" la rendit songeuse. Est-ce que par hasard Gabrielle avait quelques remords sinon celui d'être lycan et de ne plus se posséder lors des n uits de pleine lune ?
Elle ne savait pas, et cette ignorance la tracassait, au fond d'elle naissait une certaine compassion, compassion pour la peine qu'endurait secrètement Gabrielle gardant fermé un souvenir ou un évènement dans sa mémoire.
si elle était du genre irrespectueuse, Mab serait aussitôt aller chercher dans la tête de Gabrielle ce qui l'intéressait, mais elle n'en fit rien. Elle devait avoir confiance en celle qui marchait à son côté, si elle ne voulait pas en parler, c'était son choix et elle le respectait. Elle se demanda cependant si Gabrielle le lui dirait si elle ne savait qu'elle avait des soupçons ...
Mais elle ne voulait pas lui poser une question directe.
Elle décida de sous-entendre ses soupçons, ainsi, si Gabrielle sangeait vraiment à un passé, elle le comprendrait sinon, non.

Mab mit cela en douceur, dans le courant de la discussion.
"C'est beau oui, et notre rôle est de faire en sorte que cela le reste, que cela ne soit pas un souvenir, un bon souvenir mais qui devient mauvais quand on en a le remord..."

En même temps ses paroles étaient vraies, elle soupira, puis se rappela que l'idée première de cette réplique était de voir si Gabrielle lui faisait confiance et si elle voulait lui faire part de quelque chose qui la touchait, elle ne la forçait pas et elle la laissa seule juge.

Gabrielle tourna vivement son regard vers Mab nle savait-elle ? Non c'était impossible personne ne pouvait le savoir mise à part elle et encore partager sa peine avec quelqu'un lui ferrait tellement de bien... Elle perdit son sourire durant un instant. Si elle devait en parler se ne serait sureùent pas dans le village mais bien en foret ou elle était bien sur que personne ne l'entende. Ces remords se voyaient tant que sa sur son visage ? Au point que quelqu'un puisse le voire même une personne qu'elle ne connaissait que depuis quelques heures ? Elle était un monstre et cette pensée la rongée de l'interieur savoir qu'elle était l'unique responsable de la mort de sa famille l'unique responsable et la cause de la mort de sa famille. Elle n'en pouvait plus des années qu'elle trimbalée sa derrière elle et elle en avait peur tellement peur qu'elle s'en était mise à se prendre pour une créature tout droit sortit de l'enfer ou quelque chose comme sa.
"Les remords vous ronge de l'interieurs et vous font croire beaucoup de choses j'en sais quelque chose."
Plusieurs mèches de cheveux passées devant son visage du fait on ne voyait pratiquement plus rien de se que pouvait exprimer celui-ci du remords de la tristesse et du dégoût du dégoût d'elle-même de ce qu'elle était devenue et de ce qu'elle avait fait. Elle releva la tête et regarda Mab en souriant.
"Si tu veux on parlera des sujets peut juyeux un autre jour un jour ou une nuit dans la foret mais pas ici."
Elle regarda devant elle si elle connaissait son secret ou qu'elle l'avait devinée à son visage ou quelle devait avoir des soupcons simplement se n'était ni le moment ni l'endroit pour en parler.
"Parle moi de ta foret de ce que tu fais de ce que tu ressents bref dis moi tout."

Mab hocha la tête, bien sûr elle comprenait, si elle venait à ne pas aimer ce village il était tout-à-fait compréhensible de ne pas vouloir parler de quoi que ce soit ici. Et puis cela n'aurait pas été bien prudent.

Elle attenderait donc.
D'ailleurs pour faire passer le temps elle répondit à sa question :
"La forêt... je pourrais te parler d'elle sans faire de pause mais maintenant que je suis devant le précipice je ne sais pas quoi te dire. Il y a tellement de chose, je pense, qui sont évidente pour moi et te sont cachées à toi."

Elle s'interrompit un moment mais après tout :
"Je vais tout de même essayer."

Elle releva la tête, regarda alentours, elles étaient toujours sur le chemin solitaire qui menait au village, celui-ci commançait déjà à apparaître.

"Très bien. Je crois que je vais t'expliquer comme moi j'ai appris les choses. Donc je vais remonter à ma naissance et te faire part petit à petit de ce que je sais."

Elle réfléchit intensément comme s'il lui était dificile de se rappeler. D'un autre côté c'était il y a trèss longtemp !

"Je ne sais pas exactement l'âge que j'ai, parce que nous ne comptons pasles années, nous vivons avec notre éléments, souffrons avec lui et mourrons avec notre mère. L'âge n'a donc que très peu d'importance.

Ecorce d'Argent m'a expliqué que pendant que je croîssait dans sa sève elle m'éduquait déjà sur la vie. Elle dût nourrir ma haine pour les hommes, elle dût me montrer leurs atrocités, elle dût me montrer les âges du passé, elle dût me raconter les histoires des héros de ceux qui faisait "de grandes choses"... mais qui ne faisait pas attention à ce qui pousse. Elle m'apprit mon but à travers des paroles, ma dévotion : la garder elle, et la forêt de ceux qui ne se soucie plus de ce qui est vivant en dehors de leur personne."

Elle respira un peu et puis continua.
"Je suppose que ces images se sont muées pour devenir non pas des souvenirs mais mon caractères. En me montrant ceci ou cela, elle me forgeait de l'intérieur, en se nourrissant de telle terre, en laissant couler une telle sève en moi elle forgeait ma physionomie. "

De nouveau elle fit une pause et termina :
"En faisant ceci ou cele je devenais soit plsu rapide soit plus forte, soit j'avais un tel pouvoir soit j'en avais un autre. Elle fit de moi son idéal, elle voulait un enfant pour la protéger elle et les siens mais aussi un enfant pour être mère et ne plus être un arbre vert.
Je suis née avec ce fardeau, je ne me souviens plus ce qu'elle m'a montré pendant ce moment où j'étais en elle parce que c'était devenu."

Gabrielle souria les mains toujours dans les poches sa devait être merveilleux que d'être esprits de tell ou tell élèment que d'être enfant d'un esprit de la nature d'être enfant d'un arbre mère d'être ce qu'elle était.
"Si j'ai bien compris tu as passée un certain temps avec ta mère celle-ci te racontait son savoir et ce qui t'étais utile et chaque chose qu'elle te disait te servais à forger ton caractère grâce à des élèments racontés."
Elle souria espèrant avoir bien compris. Son fardeau elle commencait à l'oublier sa peur de la pleine lune aussi elle rêvait presque imaginant tell ou tell chose pour comprendre ce que devait ressentir Mab lorsqu'un arbre ou autre chose de la nature mourrait par la faute d'un être humain si stupide qu'il ne faisait pas attention c'était comme la neige tout le monde cherchait des cristeaux mais lrosque la neige tombe les cristeaux ils les ecrasent sans même s'en rendre compt. Finalement sa mutation lui avait ouvert les yeux à bien plus de chose que la souffrance peut-être finira t-elle par appecier son statut de loup.